suite: sa filmografie exhaustive
Schwarzy c’est pas une lopette.
Arnold Schwarzenegger va sortir au cinéma dans son film « La fin des temps » où il incarne un dur à cuir qui n’aime pas le diable, en gros les forces du mal. Un film qui ressemble à bien d’autres mais qui eux sont méconnus ( à juste titre ) du grand public. Entrez avec moi voyageurs imprudents dans la Schwarzy Stories.
1981 « Conan le barbare » de Milius
Le genre : T’are ta gueule à la récré
Ze story : Conan grandit en tournant une roue ( pas celle de la fortune), épilé il casse la gueule à un reptile et part avec des bottes en croco.
A voir : Pour les slips rembourrés en poils de yack. Les scènes de sexes body buildées. Le torse nu et hypertrophié d’Arnold. La noblesse des dialogues. Pour la pointe de philosophie plutôt façon « zoo ».
1982 « Kalidor »
Le genre : girls musclo-powers vs the world
Ze story: Brigitte Nielsen en a marre du viol après avoir inventé la ligue féministe, la langue de bois et le catch-eyes, elle combat au coté d’Arnold pour la distribution et finit sur la touché avec le générique.
A voir : Quand Brigitte s’énerve, y’a qu’Arnold comme pillule . Pour les habits en strech de Brigitte,pour le retour des fréres polystirène. Pour la sorcière/ami de Kalidor qui coule son rimel. Pour les décors en aquarelle façon Vincy/Disney/Garderie peint avec les pieds.
1983 « Conan le destructeur »de Fleisher
Le genre : Si t’as pas compris, j’t’en remet une couche
Ze story : Conan huilé et gonflé chez Michelin décide de faire un seau (de porc) chez un sorcier borgne, au passage il affole une vierge, tue un sauvage et repart parce-qu’il a garé son chameau en double file.
A voir : Pour les décors remasterisés façon spaguéronis. Les trucages avec Polystirène and Co. La fille qui crie comme une truie égorgée. Le boss de fin de niveau façon petit Colin vs le Yéti.
1984 « Terminator » de James Cameron
Le genre : macho macho men (air connu)
Ze story : Un mec se perd et va dans le futur, il nique une future belle-mère façon Œdipe et il lutte contre 6PO supercompressé avec un boulon dans le cul. Finalement y crève et le robot désespéré fini dans un presse papier géant.
A voir : Quand Arnold parle y tire d’abord. Pour la musique pop façon corn. Pour la tolle froisée récupérée à Mad Max. Le futur, je veux pas y habiter, même Conan y l’aurait du mal. Pour la philosophie à 2 francs et le paradoxe temporel à la chasse d’eau.
1985 « Commando » de Lester
Le genre : Lors de la retraite, un vieux c’est dangereux
Ze story : Arnold bardé de médailles dort au Tibet-Colorado. Un mec pas bô enlève sa fille et prépare du rififi. Le coup de grisou arrive : Arnold en Nicolas le Jardinier shouté aux hormones de poireaux casse tout et se tire ailleurs.
A voir : Pour l’utilisation des outils de jardin. Pour le cheatcode contre les autochtones sur une île. Pour la noire rigolote et compère qui est pas drôle. Le lancement de tuyau ELF dans un vieux pote.
1987 « Running Man » de Gloser
Le genre : Cours Forest, cours
Ze story : C’est un pauvre type dans le futur, à la sortie d’un métro. Y l’est arrêté puis cours, et cours encore. Aidé par une femme, il n’aime pas se faire tuer, car ça fait mal. Pour finir le directeur du jeu meurt et les gens éteignent la télé.
A voir : Pour la bouche d’Arnold, les décors Kitch-core. Les supers-bouchés façon Charall-Hiroshima. Pour les jambes d’Arnold habillé en éboueur du futur. Si tu t’emmerdes lache ton frère et organise une battue.
1987 « Prédator » de Mc Tierman
Le genre : un chiwawa dans l’espace, revient pas gentil
Ze story : La guerre froide, c’est pas bien. Arnold et son équipe de « Hard’s Boy » vont dans la jungle, et que je te nettoie la forêt avec ma sulfateuse, que j’te tue mes coéquipiers (beuh !Pas content Arnold). Ensuite Arnold revient et écrase le Yiouki avec son esprit vide.
A voir : Quand les Mayas sont pas là, les Schwarzy buttent. Pour la sauvegarde des chiens de l’espace. Afin de piéger le chat avec des pieux dans le jardin. Mais que fait Greenpeace ? Pour le sourire d’Arnold Schwarzenegger.
1988 « Jumeaux » de Reitman
Le genre : Laurel et Hardy, y sont pas mort.
Ze story : Arnold y l’est grand et fort mais habite sur une île. Dany De Vito y l’est petit et laid mais habite pas. Ils se rencontrent Ils se rencontrent et dépucèlent Arnold. Arnold et Danny s’aiment, pour tuer le temps ils déchainent un mec vilain. Pour conclure y z’ont des jumeaux devant un manège.
A voir : La rencontre entre un destop et une poubelle. Pour l’humour de Reit-man. Pour l’intelligence d’Arnold mise en lumière. Pour la mauvaise foie de la mère qui donne des aigreurs d’estomac. La fin c’est bien et triste pourtant le déchet a pondu des œufs.
1990 « Terminator 2 » J.Cameron
Le genre : I want to be a matcho men
Ze story: Sarah Connor a eu un gamin avec son ventre, malheureusement son Fluber en plomb liquide revient pour tous les tuer. Schwarzy est pas content. Après une lobotomie y plongera dans la lave.
A voir : Pour l’homme en téflon. Pour les paroles d’Arnold Schwarzenegger. Afin de connaître l’espagnol. Pour la baston « in building cheat code gatling gun super héros fist iron ».
1990 “Total Recall” de Verhoeven
Le genre: Albinos sur Mars
Ze story : Arnold n’est plus lui-même. Sharon Stone est sa femme mais il reste de marbre. Après un shoute-mouse, y part sur Mars (« Viens, viens y a plein d’eau ») et devient agent secret. Pour finir il changera d’atmosphère.
A voir : Pour les effets spéciaux des constipés sur Mars. Les gens sur Mars y z’ont pris trop de Xanax. Pour les décors New-Age. Pour le trip d’Arnold Schwarzenegger qui aurait mieux fait de rester couché ce jour-là.
1990 « Un flic à la maternelle » de Reitman
Le genre : Je suis petit et je vous emmerde.
Ze story : Arnold, redevenu clodo, cherche un boulot, y va à la ma ternelle avec son casse-croûte : pleures de petits, le feu école, couche avec la maîtresse, sauvé par.
A voir : En fait Arnold Schwarzenegger c’est un tendre, dur à l’extérieur mais chiasse à l’intérieur. Pour l’attaque d’un aborigène de New-York. Pour l’éducation nationale : les clodos c’est mieux qu’un maître : C’EST GRATOS !
1994 « Junior » de Reitman
Le genre : une bassine, Schwarzy ovule
Ze Story : Arnold s’énerve, il veut un enfant. Alors il arrête la pilule et se retrouve en cloque. Aidé de son jumeau (DDV), il aime son femme et s’habille en travelot. Seulement après une césarienne et le gosse, le film s’arrête. Œuf.
A voir : Pour apprendre à ovuler avec un « petit chimiste ». Pour l’institut Michou qui a prêté les costumes. Pour les nausées et douleurs matinales d’Arnold. Histoire Bof. Scénario bidon. Film mort né. Pilule : économique.
1997 « Batman et Robin » de Schumacher
Le genre : Gervais contre Bégon.
Ze Story : Batman revient (encore !) mais cette fois, il ne dit plus rien (ouf !) aidé de son « assistant ». Ils attaquent un géranium et Arnold déguisé en arbre de Noël. A la fin, Schwarzy se retrouve au frais avec la géranium.
A voir : Pour l’histoire (Si vous l’avez trouvé, appelez-moi). Pour les dialogues de Clooney (retourne chez toi, y a urgence). Pour les loubards, ce sont les seuls à bien jouer. Pour la fille grosse, Robin le Rebel, le défoliant sans dé et le générique de fin qui permet d’éteindre la télévision.
Arnold Schwarzenegger est très bon acteur, après avoir passé sa vie à traquer les forces du mal (NDR : nous avons ainsi selectionné 13 films). Il décide pour finir de tuer le diable, logique me direz vous pour notre héros planétaire de finir l’année 1999 sur les chapeaux de roue. Il se sera essayé à tous les styles aussi bien la baston, que la baston ou encore la baston. Mais finalement son univers restera le concours de concours de musculation. Demandant à quelqu’un ce qu’il pensait d’Arnold Schwarzenegger. Il me répondit : « Je l’aime pas », « c’est un tas de muscles », mais moi je dirais : « J’aime ses doubleurs français ».